Liberté pour tous ceux dont le refus sublime
Illumina les yeux profonds,
Quand la voix des soudards les poussait vers l’abîme
Où s’engouffraient leurs bataillons !
Liberté pour les réfractaires,
Liberté pour les insoumis :
Ouvriers, ceux-là sont tes frères,
Les tyrans sont tes ennemis !
Eugène BIZEAU
Poème paru dans « Le Libertaire » en 1922
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